Le risque
de crédit: par définition consiste dans le fait
que le client ne rembourse pas le crédit à l'échéance. En finance islamique ce
type de risque est principalement lié quand une partie avance des fonds ou une
marchandise avant de recevoir un financement de sa contrepartie s'exposant
ainsi à des risques potentiels. Dans le cas de modes de financements
participatifs le risque de crédit consiste dans le fait que l'entrepreneur ne
paie pas la part revenant à la banque.
Le risque de taux: c'est celui supporté par la banque et qui comporte des dettes/créances dont la valeur évolue du aux changements du taux d'intérêt. Vu que l'usage de transactions qui comportent du taux d'intérêt est interdit dans la finance islamique, certaines institutions financières vont utiliser des taux d'intérêt de référence (en général le LIBOR)
Ce type d'illiquidité est plus important dans le cadre du financement de long terme tel que la moucharka et la moudarba.
Le risque d'illiquidite: c'est dans ce cas la que la banque ne peut pas honorer des financements à court terme, et donc dans une impossibilité de faire face à une demande massive de retraits.
Ce risque
est bien présent au sein des banques islamiques car la chari'a prohibe de
rembourser des créances à un montant qui dépasse celui de la valeur
nominale.
Le risque opérationnel qui peut être du a 3 facteurs:
Le risque opérationnel qui peut être du a 3 facteurs:
- d'ordre juridique: qui peut être lié à une perte des documents légaux concernant le mode d'emploi des instruments utilises
- Manque de personnel qualifié qui soit capable de conduire d'une bonne manière les opérations financières.
- Manque de logiciels et de plateformes qui seront adaptés à la spécificité de la finance islamique
L’ensemble des ses risques opérationnels s'expliquent par le fait que le finance islamique est encore récente et donc n'est qu'a son début.
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